|
||||
|
||||
![]() ![]() Les Métis revisitent les chansons et les musiques traditionnelles du bassin méditerranéen. Ils s'en inspirent aussi pour créer des thèmes originaux. Leur credo : rester fidèles à l'esprit de fête et de convivialité qui ont façonné ces musiques. Ici, le chant et la danse priment sur tout le reste, comme deux phares annonçant les pourtours de la côte. Pour que le voyage soit total, les musiciens globe-trotters des Métis apportent à ces musiques leur sens inné de l'improvisation, leur gout pour les arrangements soyeux, les rythmiques de transe et leur insatiable envie de rencontrer, de partager avec d'autres cultures, d'autres traditions musicales et humaines... |
||||
![]()
Nourri de rock, de jazz, de musiques du monde et expérimentales, Jean-Marie Frédéric est avant tout un musicien de rencontres, de découvertes, toujours en quête de nouveaux sons, de nouvelles musiques à jouer.
Il s'investit depuis 30 ans dans de nombreux projets artistiques, proposant ses talents de guitariste, de compositeur et d'arrangeur, et parallèlement, poursuit une intense activité en tant que pédagogue passionné. Il a également participé à l'enregistrement d'une trentaine de CD en tant que leader ou sideman. L'improvisation est le cœur de son art... Jean-Marie Frédéric débute la musique par l'étude de la guitare classique, élève du conservatoire de Sète puis du C.R.M (Connaissance et Recherche Musicale de Montpellier) dirigé par Gérard Labady. Au cours de sa formation, il participera à des stages animés par Gérard Pansanel, Joe Diorio, Serge Lazarévitch et Barre Philips. Co-fondateur de l'école de jazz “Résonance” de 1984 à 1989, ses activités de pédagogue se poursuivent au “J.A.M” (Jazz action Montpellier) où il enseigne la guitare, l'harmonie et la pratique du jeu en groupe jusqu'en 1997. Il organise ou participe à de nombreux stages et séminaires en France et à l'étranger. Coordinateur pédagogique de l'école de musique “Acteculture” de Balaruc-les-Bains, il est l'auteur de la méthode pour guitaristes et bassistes “Progressions Harmoniques” publiée en 1995 (éditions Combre) et intervient dans la publication “Découvrir la guitare” (éditions Fabri). Musicien actif dans des domaines musicaux différents, ses expériences le font voyager aux 4 coins du monde (Inde, Nigeria, Burkina Faso, Russie, USA, Vietnam, Laos, Guatemala, Honduras, Israël, Grèce …) et lui permettent de jouer avec des musiciens tels que : Siegfried Kessler, Michel Marre, René Nan, Bruno Codignola, Francis Bourrec, Doudou Gouirand, Débora Seffer, Christian Lété, Mimi Lorenzini, Tony Pagano, Gérard Pansanel, Keyvan et Bijan Cheymirani, Patrick Vaillant, Bickram Gosh, Reiner Push, Pepe Martinez, Frédéric Monino, Patrice Héral, Philippe Botta, Eric Séva, Pierre Dayraud, Paul Pioli, Eric Bretheau, Pierre Diaz, Frédéric Tari, Denis Fournier, Brigitte Menon, Michel Bismut, Max Gréze, Fethi Tabet, Hamilton De Holanda, Dominique Di Piazza, Joël Allouche, Yair Dalal, Avi Agababa, Laurent Cugny, Frédéric Favarel, François Laizeau, Parthasarthi Desikan, Snehasish Mozumder, Michel Benita, Dave Kikoski, Sebastian Rochford, L'Orchestre Philharmonique de Montpellier… |
||||
![]()
Né à Reims en 1964 de parents français d'Algérie, Frédéric Tari affirme avoir la double nationalité et deux cultures, celle du Nord et celle du Sud. Dès l'âge de quatre ans, il apprend la musique au Conservatoire. Formé au chant, aux percussions mélodiques, puis au violon, il développe en parallèle des talents d'improvisateur qui le conduisent au jazz puis aux musiques du monde.
Dès 1982 il enregistre et joue sur des grandes scènes de jazz. En 1984, il fonde la compagnie “Vent du Sud”, puis le groupe “Gibraltar” en 1985 (il jouera notamment aux côtés de John Abercrombie et Christian Escoudé). Le trio “Rituel” sera créé en 1990 et “L'Alambic Impérial” en 1991. En 1998, il devient producteur et fonde avec Philippe Tétard et Philippe Teissier du Cros le label de jazz et musiques improvisées EMP Records. Membre du petit cercle des violonistes de jazz français aux côtés de Stéphane Grappelli et de Didier Lockwood, il devient un improvisateur éclectique recherché. Pédagogue reconnu, il consacre également du temps à l'enseignement du violon, de l'improvisation et de l'harmonie. En 1997 il rejoint l'ensemble arabo-andalou “Asswate” créé par Fethi Tabet, une des grandes voix des musiques du monde. En 1998, il participe à la création du groupe Fethi Tabet sous l'égide de la compagnie “Musique Sans Frontières” dont il devient directeur musical et avec laquelle il se produit depuis lors dans le monde : Chine, Inde, Afrique, États-Unis, Amérique latine, Europe, Moyen-Orient… En 2006, il fonde avec Fethi Tabet le “Centre Culturel International Musique Sans Frontières” à Montpellier et en prend la direction adjointe. Il crée et dirige le collectif artistique “Arkom” en 2002 et participe en 2007 au lancement du groupement d'artistes “Rhizome”. En 2008, il fonde sa propre compagnie intitulée “Des Cordes à mon Art”, dédiée à la création artistique et à l'enseignement. Depuis 2003, il se produit d'une part avec l'écrivain Françoise Renaud, d'autre part avec le poète Laurent Dhume, développant avec eux des univers intimes et créant des spectacles originaux. Depuis 1985, Frédéric Tari se consacre à l'enseignement, anime des sessions de formation professionnelle et, plus récemment, dispense des cours de création musicale informatique à l'Université de Montpellier II. Il intervient enfin en conseil, coaching et direction artistique auprès d'ensembles musicaux, ainsi que dans plusieurs spectacles de création en collaboration avec la cie “Cause Toujours”, la cie “Les Gens du Quai”, la cie “Doré”, la cie “Les Graines du Temps”, le trio “Zéphyr”. Site : http://frederic.tari.free.fr |
||||
![]()
Chanteur, comédien, musicien multi-instrumentiste d'origine andalouse, Pepe Martinez est connu pour son timbre de voix si particulier. Son chant évoque les peuples de notre planète, sans que l'on puisse vraiment déceler leur origine.
Sa pluralité, son altruisme et sa générosité font de cet artiste, un adepte des musiques atypiques, improvisées ou bien traditionnelles. Un engagement total, une émotion à fleur de peau, une présence remarquable lui valent de travailler avec bon nombre d'artistes. Il intègre une formation Jazz-Flamenco “Rumeur Ibérique” aux côtés de Jean-Charles Agou et crée “Comédie Flamenca”, où le chant et la comédie fricotent avec un flamenco hors normes. Sa curiosité et son amour des instruments, le conduisent peu à peu à jouer du tuba, du cajòn, du bugle et de l'accordéon avec le groupe fétiche “Zaragraf”. Pepe Martinez se tourne alors vers les sonorités orientales de la compagnie Michel Bismut. Avec “Caliente” et “Porte bonheur”, on lui accorde une grande place et la possibilité d'improviser. Il partage la scène avec Pierre Diaz sur le thème de la “Retirada” de 1939, avec “Fils de réfugiés” textes en espagnol, français et catalan, parlés et chantés sur une musique Jazz. Avec le groupe “Gazpatcho”, il chante des compositions originales, en compagnie de Jean-Marie Frédéric (guitare), Max Solia (batterie) et Dominique Di Piazza (basse). Pepe Martinez participe aussi à de nombreuses créations avec des artistes tels que : Jérôme Savary, Vangelis, Placido Domingo, Yolande Moreau, et plus récemment avec Jason Carter et l'orchestre philharmonique de Novosibirsk en Sibérie. Site : www.pepemartinezdiaz.com |
||||
![]()
Originaire du Laos, Alfred Vilayleck commence son apprentissage de la musique, du jazz et de l'improvisation au contact du guitariste Serge Lazarevitch, puis dans les conservatoires de Perpignan et Strasbourg.
Il a fondé le Collectif Koa à Montpellier en 2007, et joue avec plusieurs de ses formations : Grand Ensemble Koa, Jeff Martin trio, Melquiadés 4tet.. Alfred accompagne Serge Lazarevitch, Joël Allouche, Vittorio Silvestri et de nombreux musiciens dans la région Languedoc-Roussillon, Jeroen Van Herzelee, Louis Favre en Belgique... il pratique également le soundpainting. Musicien de jazz ouvert au voyage, il multiplie les expériences musicales à l'étranger, notamment avec Kora Manding Jazz, projet franco-malien. Intéressé par la pédagogie et ayant obtenu le Diplôme d'Etat d'enseignant du Jazz, Alfred enseigne au Conservatoire de Perpignan. Facebook Alfred Vilayleck |
||||
![]()
Né le 16 août 1955, Daniel Solia, musicien autodidacte, débute la batterie à l'âge de 18 ans. C'est au sein d'orchestres de variétés qu'il fait son apprentissage de la scène. Il étudie la technique de l'instrument au Conservatoire de Nîmes, dans la classe d'Alex Clapot. C'est à l'IMFP qu'il rencontre le batteur Al Levitt et découvre la pratique du Jazz.
Il se tourne également vers des musiques traditionnelles : Africaine, Espagnole, Indienne, Brésilienne, et étudie lors de différents stages, avec des batteurs tels que : Daniel Humair, Lolo Belonzi, François Laizeau (Michel Legrand), Jean Paul Ceccarelli (Didier Lockwood, Sting), Trilok Gurtu, Billy Art, Joe Baron, Max Roach, Joe Hammer (D.Balavoine, J.M Jarre, J.J Goldman) Dave
Weckell, Vinnie Colaiuta (Jeff Beck, Sting) …
De 1983 à 1985 il tourne avec le groupe hard rock “Cargot de nuit” puis de 1985 à 1987, il travaille avec Dominique Dipiazza, Daniel Goyone, Sylvain Beuf, au sein du Groupe de Michel Perez, puis fait partie du groupe du guitariste Jean Pierre Llabador, avec Jacques Bouniard et Michel Zenino. Daniel Solia se produit également avec Pete Yelin, (sax alto du big band de Bob Mintzer), Jean Pierre Como et Louis Winsberg, cofondateurs du groupe Sixun et travaille pendant plusieurs années avec Philippe et Louis Petrucciani et tourne avec Nazare Pérerra, Anténor Bogea, Marcia Maria, et Marie Annick Saint Ceran dans le registre de la musique Brésilienne. Affectionnant particulièrement les trios pour le développement de l'improvisation, où chacun est un soliste à part entière, on le retrouve dans différents groupes avec notamment Gérard Pansanel, Frédéric Monino, Olivier Roman Garcia et Jean Marie Frédéric. Également attiré par la chanson française, il accompagne Julien Laurence, finaliste de l'émission “Nouvelle Star” 2004. De 1991 à 1993, il enseigne au J.A.M de Montpellier dans le cadre de cours particuliers et animations de classes d'ensemble, puis de 1993 à 2004 à l'Institut Musical de Formation Professionnelle (I.M.F.P) de Salon-de-Provence, spécialisé sur la batterie dans les musiques actuelles et amplifiées : rock, brésilien, musiques du monde, fusion, et la pratique du rythme pour tous instruments. Depuis 2006, il participe aux différentes créations européennes du groupe “Une Anche Passe”, ensemble de hautbois languedociens, dont la particularité est la composition et l'improvisation dans l'influence des musiques traditionnelles du tour de la méditerranée. Daniel Solia s'est produit ces dernières années dans des festivals tels que : Festival de Radio France, Festival de Jazz du Lavandou, Nîmes Jazz festival, Festival d'Hyères, Nancy Jazz Pulsation, Festival de Jazz à Vienne, Naples, Bruxelles, Heidelberg, en tournée à Londres, Manchester, Liverpool, Cambridge, Southport, Cardiff, et dans de nombreux concerts en France, en Allemagne, en Italie et en Belgique. En 2011, Daniel Solia est certifié musicien interprète des Musiques Actuelles. En 2012 il crée son propre groupe et enregistre le CD “Daniel Solia - Flying Stone”. Actuellement, il enseigne à la Nouvelle École de Musique d'Aubenas et à l'Ecole de Musique de Joyeuse. Diplômé d'état de professeur de musique dans le domaine des musiques actuelles, il anime aussi régulièrement des Master Class dans différentes écoles. Site : www.danielsolia.com |